vendredi 17 février 2017

Carhaix 50 Nuances de Fillon / Macron et "Nous" Hamon les "petits choses" voyons que...

il y a les "je" qui nous ont roulés et les "Nous" Hamon avec des valeurs pas négociables.
Yves Morvan présente "le Garage Solidaire" de Carhaix à Benoit Hamon
en embuscade derrière en noir l'infanticide celui qui se vante, en sauveur, d'avoir donné "l’extrême onction" à l'écotaxe après l'avoir voté et conduit aux fonds baptismaux...!(voir...)
à l'identique absent de la défense de l’Hôpital de Carhaix, mais là pour le point final
 et en sauveur en voulant le mot "fusion" à la place de "coopération" avec l'H de Brest.
dit vouloir rattacher les 5 départements Breton mais fait le contraire.
dit être pour la langue Bretonne mais n’essaie pas de bouger les lignes des jacobins.
laisse fermer l'usine Kritsen Marine Harvest qui fait du bénéfice etc...
devenu le Cyber marionnettiste de Macron
bonne nuit les petits, le marchand de sable est passé, en baie de Lannion
ci-dessus (Macron), il dirait même que c'est pas lui...?
point de vue (en rêve) d'un Hamon :
Avec le fric tout est possible
ce n'est pas un rêve?, les pieds sur terre! l'ISFortune ,
 comme une lumière dans le ciel !? (et l'ISS,) à la tombée de la nuit 
il brille comme de l'or et disparaît... 
après avoir mangé aux bonnes tables, (et entubé fillon, sarko,atali...)
 Macron secrétaire général de l’Élysée a 
 plombé Hollande qui avait promis que le monde de la finance serait son cheval de bataille...
 Macron a su convaincre du contraire et démission, trahison,
il est le malin, trop beau pour être honnête, toujours à l'école de la prof. de théâtre
pour distraire le petit peuple (et les petits enfants) 
la marionnette du Médef et des finances, le clown instable et éphémère,
a appris des techniques de manipulation de l'opinion
<< comédien pas bon en maths mais essai de prouver une 3ème fausse bonne solution >>(dixit..)
Champion de la com. le démarcheur pour vendre le vent qu'il a déjà facturé
fondé sur l'apparence, il surfe sur le flou, il embobine certain avec du vent.
à l'école d’illusionnisme, démarcheur à domicile par médiats (achetés)interposés
<<du théâtre, l’arrogance, l'ignorance, la stratégie du météore, un ovni, un météorite>> (dixit)
avec tactique du (f)clash d’affrontement pour gagner l’audience,
il choisi sa proie, choisi le sujet qu'il a appris par cœur
quand les médiats qui lui sont favorables sont là
il fait son numéros de clown
<<quand il est surpris il fait des phrases et des phrases ronronnantes
qui ne veulent rien dirent avec le sourire de jésuite béatifié>>, trop poli pour être honnête   
récupérer l'attention de plusieurs clans et leurs voix
une idole qui fait rêver à des jours meilleurs
 et se fait remarquer, brillant boutiquier, près des médiats.
 une des taupes de bercy ??
26 août 1789 <<...reprise en mains par le citoyen,
 l'ignorance, l'oubli, le mépris, seules causes de malheurs publics et
de la corruption des gouvernements. nos droits naturels inaliénables et sacrés... >>
 plus d'enfumage avec des paroles qui ne veulent rien dire
ni beaux ni menteurs,
beaux parleurs,baratineurs,
comme linky il est dangereux hyper communiquant
pour nos libertées
l'ART de l'entourloupe, de raconter des histoires
le film :"le bon, la brute, et les truands"
et pas fin du cauchemar ??...
le système social ....l'homme d'apparence est
"en marche arrière" et sans rétro, je t'écrase parce que tout s’achète.
arrivé de nul part il est fabriqué (et manipulé) par les médiats.
<<va du coq à l’âne dit tout le matin et son contraire le soir


et dans un courant d'ére..
 un  Hervé Hamon écrit:
Ah ! il fallait voir leurs bobines, au soir de la primaire, à la télévision. Il fallait voir leur total mépris, leur souveraine condescendance. Qu'est-ce que c'était que ça ? Qu'est-ce que c'était que ce petit Zef égaré dans la cour des Grands ? Nathalie Saint-Cricq, Ruth Elkrief, Franz-Olivier Giesbert, et ainsi de suite, ne retenaient pas leurs sarcasmes. Utopiste, marchand de rêve, frondeur velléitaire, et j'en passe. Tandis que le sortant, lui, lui qui avait dit tout et son contraire, il avait la carrure d'un homme d'État, lui, il parlait de sécurité à chaque coin de rue, lui, il était laïque, lui, il disait « Je » à tout bout de champ, lui, il était fiable, lui. Mais il a été battu, lui. Comme les copains. Remarquez, du côté des politiques en place, à gauche, ce n'était guère mieux. Mélenchon : moi, je suis en campagne depuis plus d'un an, on ne va pas me faire un tête-à-queue dans la dernière ligne droite. Le Guen : il est irréaliste, ce garçon, ça ne pèse rien, ça ne vaut pas un clou. Ou le Premier ministre : d'accord, tu as gagné, d'accord, tu as gagné parce que tu défendais une autre ligne que la nôtre, mais pour qu'on te reconnaisse, il faudra endosser l'héritage. Et François Hollande, François Hollande qui connaît les bonnes manières, oublie de raccompagner son visiteur sur le perron de l'Élysée... Hamon, c'est le Petit Chose de la politique, tel le personnage de Daudet qu'étouffait la stature paternelle. Il aurait même des idées, des idées expérimentales. Encore plus expérimentales que « Mon ennemi c'est la finance » ou que « Travailler plus pour gagner plus » ou que la « préférence nationale » ou que... je vous la fais courte. Et vous savez quoi ? À la fin de son discours, il a dit, Hamon : je ne prétends pas détenir la vérité, je pense que le « Nous » est préférable au « Je ». L'Amateur. On vous aura prévenus. Et puis ça bouge, et puis ça tremble. Voilà-t-il pas que le Petit Chose est désormais la personnalité politique préférée des Français. Ouais, mais tout ça, c'est de l'opinion, c'est des sondages, du vent. Mais voilà-t-il pas que le Petit Chose, dans les intentions de vote, pèse deux fois plus que Mélenchon, réveille les communistes, et s'en vient chatouiller Macron - qui est tellement pro, à ce qu'il paraît. Holà ! Moi je vous le dis, la politique, c'est compliqué. Mais les électeurs, c'est pire.

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Beaucoup de choses me navrent, dans l'actuelle campagne électorale, et d'abord la domination du paraître. Mais il en est une qui m'amuse : c'est la manière dont la plupart des prétendants revendiquent la première personne et s'y tiennent. « J' » augmenterai de sept milliards..., « je » dirai à la chancelière..., « je » rétablirai un service national, « je » convoquerai une Assemblée constituante, « je » donnerai la priorité à l'école primaire, « je » m'entourerai d'un gouvernement restreint, etc. À croire que les affaires de l'État ne seront plus administrées par des compétences réunies, mais aux mains de gamins dans la cour de récréation.
"Faire comme si" l'homme candidat devenait, par essence, omniscient
C'est pour cela que lesdits gamins se trompent tout le temps et que les journalistes se font un plaisir, après chaque émission, de relever leurs approximations, erreurs ou inexactitudes. Personne, en ce bas monde, n'est expert en tous domaines, n'est apte à parler convenablement d'éducation, de politique étrangère, de stratégie militaire, de santé, de régulation économique, de sécurité, d'écologie ou de dialogue social. Mais l'exercice est conçu de telle manière qu'il faut « faire comme si », comme si l'homme candidat devenait, par essence, omniscient.
Et pourquoi doit-il être omniscient, ce candidat ? Parce qu'il n'est pas « normal ». Parce qu'il plane au-dessus de ses pitoyables semblables, de ses concitoyens anxieux, de ses compatriotes ignorants. Parce que l'étendue de son champ de vision est autre, tout autre. Parce que c'est une question de standing : le candidat présidentiel a réponse à tout, point final. Et, s'il n'a pas réponse à tout, c'est qu'il n'est pas un « vrai » candidat présidentiel. On a vu ce qu'il en a coûté à Hollande de se déclarer lambda.
Et Benoît Hamon, le seul des « grands » qui a proclamé ne pas être infaillible, ne pas être certain de tout, bat de l'aile dans les sondages. L'explication est toute trouvée. En France, nous ne voulons pas un président, nous voulons un roi. Philippe Poutou a été pris à partie parce qu'il casse l'étiquette mais Philippe Poutou avait admis, d'emblée, que l'Élysée n'était point son objectif. Les autres disent « je ». C'est royal. Sauf que le roi, le vrai, disait « Nous ».

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